• V0uges@jlai.lu
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      1 year ago

      Si elles ne veulent pas en faire, c’est aussi car ce sont des milieux très sexistes et aucune d’entre nous n’a envie de subir ça pendant toute notre carrière. Les prépas et les écoles où les rares filles sont classées en fonction de leur statut de « trou » disponible, les rumeurs lancées par des gars jaloux comme quoi que leurs notes sont dues au fait qu’elles couchent, etc. Et quand on sort de l’école, j’ai des exemples à la pelle de collègues hommes ingénieurs qui prennent leurs collègues femmes pour des secrétaires juste bonnes à gérer leur calendrier et leur amener le café et vont ensuite bouder quand ces femmes toutes a fait compétentes ont des promotions. Tant que l’on n’aura pas fait du ménage sur les comportements de certains, il n’y aura pas plus de femmes en science. C’est tout.

    • Mell@jlai.lu
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      1 year ago

      J’avoue que je ne comprends pas trop cette tendance à pousser les femmes à faire de la science, et à s’indigner car elles n’ont font pas asser
      Permettre l’accès aux sciences à tous c’est une choses normal
      Mais là on se fait limite engueuler parfois car on se dirige vers un métier dit “de femme” mdr
      Sans parler des pourcentages de différence d’homme et de femmes à chaque fois mis en avant alors qu’on s’en fout, on ne vas pas se forcer à faire de la science pour remonter les statistiques

      • Ziggurat@sh.itjust.works
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        1 year ago

        Si la moitié d’une génération n’est par intéréssée par les sciences, c’est une perte majeure pour la société. Après il faut ausse plus d’hommes puericulteurs/instituteurs/infirmiers/travailleur social et pleins d’autres job dit féminin.

        • Mell@jlai.lu
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          1 year ago

          Cela veut dire que l’autre moitié de la génération est intéressé par la science, ce qui est énorme, car ça veut dire que l’autre moitié se partage tout les autres type de métier
          Par contre oui, il faut un équilibre, donc si il y a une perte il faut aussi une hausse, sinon effectivement c’est pas très rassurant pour pour la suite
          Surtout qu’effectivement dans mes anciens lycée les filières dit pour femme, n’étaient pas très bondé d’homme :/

      • Magnor@lemmy.magnor.ovh
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        1 year ago

        Non, mais si ces statistiques s’effondrent d’un coup , comme c’est le cas, cela n’est ni anodin, ni souhaitable.

    • Mathilde@jlai.lu
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      1 year ago

      Il ne faut pas généraliser, là le soucis c’est surtout que les domaines scientifiques ne paraissent pas accessible pour les femmes

      • Mell@jlai.lu
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        1 year ago

        Pourquoi elles ne paraîtraient pas accessible pour les femmes ?

        Je n’ai pas lu l’article, je n’arrive pas à ouvrir le lien.

        • Mathilde@jlai.lu
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          1 year ago

          Je sais pas on se dit “c’est pas pour moi…” . C’est une question d’image peut-être, de l’éducation, donner envie, générer des passions…

          • Mell@jlai.lu
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            1 year ago

            Ce dire que ce n’est pas pour nous c’est plutôt logique vu que ça dépend de nos envies et de nos goûts
            Et cela fait 10 voir 15 ans qu’on a des interventions et des représentations féminines en sciences un peu partout, donc de ce côté là il n’y a pas de problème
            Le seul point problématique cela serait effectivement l’éducation, car beaucoup de parents conditionnent encore leur enfant vers un type de métier/domaine en fonction de leur sexe

            • Miaou@jlai.lu
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              1 year ago

              Beaucoup se disent probablement que “c’est pas pour moi” justement à cause de tous les clichés et le conditionnement.

              C’est difficile d’évaluer à échelle, mais néanmoins visible tous les jours. La femme est l’infirmière, l’homme le médecin. Une secrétaire, un ingénieur, etc.

              Je trouve ça étrange que tu penses que les femmes sont, pour une quelconque raison, moins intéressées par les filières scientifiques que leurs homologues masculins, alors que cet article illustre bien que les programmes scolaires et pressions sociales jouent un rôle majeur.

              Rien n’empêchait une lycéenne de faire puériculture après son bac S spé maths. Par contre quand maman et papa lui rabâchent que les enfants c’est important, forcément il y a moins de chance qu’elle s’imagine faire math sup au moment de choisir ses matières au lycée.